Installation des Unions Communales

L’article 32 des Statuts de l’Union fait la Nation dispose : ‘Les Unions Communales sont constituées des militants de l’Union au niveau des Communes. Il existe une Union Communale par Commune. Elles sont dirigées par un bureau dont l’organisation, la composition et le fonctionnement sont fixés au Règlement Intérieur’. Conformément à ces dispositions, la Conférence des Présidents, conduite par  Monsieur Bruno AMOUSSOU a entamé l’installation des démembrements de l’Union au niveau des Communes. Ainsi, le vendredi 10 Septembre 2010, les six (06) Unions Communales du Couffo, ont été installées à Azovè et les six (06) du Mono, à Lokossa. Le samedi 11 Septembre 2010, les cinq (05) Unions communales ont été installées à Pobè et les neuf (09) de l’Ouémé à Porto-Novo. Le dimanche 12 septembre 2010, les neuf (09) de l’Atlantique ont été installées à Calavi et les huit (08) du borgou à Parakou. Cette installation a connu une participation massive des militants qui n’ont pas voulu se faire compter cet important évènement. A tous les niveaux, le Président, le Coordonnateur National et le Candidat de l’Union ont adressé le message de mobilisation et d’engagement à l’endroit des responsables communaux et des militants à la base.

En se livrant à cet exercice, les dirigeants de l’Union démontrent, si besoin en était encore que l’Union fait la Nation est une affaire sérieuse et non un regroupement politique qui plane sans aucune organisation et structuration à la base. En démarrant l’installation des Unions Communales, la Conférence des Présidents de l’Union démontre que ses objectifs vont largement au delà des échéances électorales de 2011. Ils démontrent qu’ils ont fait le choix d’avenir, celui de montrer la voie à la nouvelle génération. En faisant ainsi, les dirigeants de l’Union montrent que leur regroupement politique n’est pas une affaire de quelques responsables se retrouvant au sommet, mais, sans aucune base. L’Union fait la Nation n’est donc pas un arbre sans racine et encore moins, une carrosserie sans moteur. Les adversaires de l’Union ont donc des raisons réelles d’être inquiets et même d’être anxieux. Y a t-il un autre choix pour eux ? Non, et pour cause : les partis regroupés au sein de l’Union fait la Nation ont une assise indéniable qu’ils entretiennent depuis plus de vingt ans. Mieux, ces principaux dirigeants sont des hommes expérimentés qui ont une idée réelle et pragmatique de la gestion de la chose publique et à ce titre, les propositions qu’ils font, convaincs plus d’un au niveau des populations. Cette nouvelle preuve que l’Union vient de donner par rapport à son sérieux, son organisation et structuration, convaincra sans nulle doute beaucoup de ceux et celles qui hésitent encore. Il y a lieu de tirer un coup de chapeau à la Conférence des Présidents et de demander aux responsables des Unions Communales provisoires de savoir suivre les pas et les directives de leurs premiers responsables en se mettant sérieusement à la tâche. Pas de bon vent à celui qui ne sait pas là où il va. Ce n’est pas le cas de l’Union fait la Nation et tous ceux et celles qui adhèrent à sa vision ont des raisons d’espérer. Oui, de bonnes raisons.